CARITAS lance un avis d’appel d’offres pour l’appui au renforcement des capacités de résilience des populations vulnérables du Batha (REPAR), Province du Batha, Tchad
Références : AAO N°01/REPAR/10/2023
Zone du projet : Province du Batha
Chef de file : Caritas Suisse (CACH)
ONG partenaires : Association pour la Défense de l’Environnement et le Développement Durable (ADEDD) et Projet Évangélique de Développement Communautaire (PEDC)
Partenaires étatiques : Comité Provincial d’Action (CPA), Système d’Information sur la Sécurité Alimentaire et d’Alerte Précoce (SISAAP), Agence Nationale d’Appui au Développement Rural (ANADER), Délégation Provinciale de l’élevage, Délégation Provinciale de l’environnement
Bénéficiaires du projet : 5’000 ménages pauvres et très pauvres
Budget : CHF 2’250’000
Bailleur : Direction du Développement et de la Coopération Suisse (DDC)
Période de mise en œuvre : 01.07.2021 – 30.06.2024
Type d’évaluation : Évaluation externe finale
1. Description du projet
Objectif global
L’objectif global du projet est de contribuer à l’amélioration de la résilience des populations vulnérables du Batha face à l’insécurité alimentaire et nutritionnelle.
Objectifs spécifiques
OS1 : Les acteurs locaux exercent une gouvernance coordonnée faisant usage d’un mécanisme institutionnel participatif pour la prévention et la réponse à court et moyen termes au niveau de la province Batha.
OS2 : Les ménages vulnérables et très vulnérables renforcent leur résilience grâce à des mesures d’aides d’urgence et à la diversification de leurs moyens de subsistance dans un environnement où les ressources naturelles sont réhabilitées et gérées de manière durable
Le premier axe comporte la mise en place et le fonctionnement d’un mécanisme de coordination et d’action capable d’analyser la situation de manière participative pour dégager des réponses à l’urgence avec une vision de durabilité et partant contribuer à pallier la faiblesse du CPA à assurer la coordination des activités des projets et programmes au niveau de la Province. C’est ainsi que le Projet REPAR accompagne le CPA afin d’assurer ce mécanisme de coordination locale de toutes les activités de développement et d’urgence en mettant en valeur la synergie d’action et la communication entre les acteurs locaux. Cette synergie d’action entre acteurs permettra d’augmenter l’efficacité des actions et de produire des impacts globaux sur les bénéficiaires. CACH facilite l’élaboration et la mise en œuvre de la mission, la structure, la composition, les rôles, le mode de travail, de communication et le financement de ce mécanisme.
Le deuxième axe vise la réduction de la pauvreté et de la dépendance vis-à-vis de l’aide par (i) des interventions visant à accroître les revenus ainsi que des systèmes durables de prestation de services, de production et de productivité, et (ii) le biais de ressources naturelles réhabilitées et gérées de manière durable et équitable. Toutes les interventions contribueront en fin de compte à améliorer la sécurité alimentaire et à renforcer la résilience de la population ciblée. Un indicateur clé du succès sera la réduction du nombre de personnes/mois pendant lesquels les familles dépendent de l’aide extérieure, sans recourir à des stratégies de gestion négatives ni à un épuisement accru des ressources naturelles. Ce deuxième volet du projet est mis en œuvre par les organisations locales de mise en œuvre ADEDD et PEDC avec le soutien technique, de coordination et administratif de CACH.
2. Objectif de l’évaluation
L’évaluation a pour objectif d’apprécier les performances du projet et de proposer des orientations et des recommandations
Elle est destinée aux principaux utilisateurs prévus (DDC, CACH) et aux autres parties prenantes concernées (telles que les ONGs partenaires de mise en œuvre et le CPA) en tant qu’exercice d’apprentissage et de responsabilisation. Elle évaluera la conception et la pertinence du projet, ainsi que la réalisation de ses objectifs. Elle recueillera et analysera les leçons apprises, les défis rencontrés et les meilleures pratiques obtenues au cours de la mise en œuvre, qui orienteront la stratégie de programmation de la prochaine phase du projet. Ainsi, l’évaluation externe sera à la fois rétrospective (évaluation des résultats, de la pertinence, de l’efficacité) et prospective (nouvelles pistes et recommandations pour l’avenir du projet).
3. Portée et objectif de l’évaluation
Focus 1 – redevabilité : Evaluer le niveau d’atteinte des objectifs et résultats attendus du projet
Focus 2 – redevabilité : Analyser la gestion du projet, y compris les stratégies de mise en œuvre ; les activités du projet, les modalités de mise en œuvre, la transparence de choix des vulnérables, la prise de décision éclairée.
Focus 3 – apprentissage : Identifier des bonnes pratiques et les principaux éléments qui ont conduit aux résultats attendus comme aussi ceux qui ont empêché le projet d’atteindre un niveau de résultats plus élevé. En tirer des enseignements et des recommandations basées sur les deux (2) axes d’objectifs du projet sur la manière dont le projet devrait se positionner pour une prochaine phase afin de relever avec succès les défis identifiés et d’accroître son impact.
4. Questions d’évaluation
Pertinence :
- Dans quelle mesure l’intervention de REPAR coïncide-t-elle/répond-elle aux besoins des populations vulnérables et très vulnérables de la province du Batha ?
- Dans quel mesure la stratégie de renforcer le CPA est-elle adaptée à la mise en place un mécanisme institutionnel participatif de coordination et d’action capable d’améliorer la coordination entre les interventions humanitaires et de développement pour les réponses à court et moyen terme dans la province de Batha ?
- Dans quelle mesure les interventions choisies sont-elles pertinentes par rapport à l’amélioration de la résilience des populations vulnérables face à l’insécurité alimentaire et nutritionnelle, les besoins et priorités des bénéficiaires – surtout des femmes – ainsi que le développement des activités génératrices de revenus et d’aménagement communautaires ?
- L’approche Nexus a-t-elle été adaptée pour répondre aux défis identifiés ?
- L’évaluation vérifiera aussi la pertinence des indicateurs choisis pour suivre l’évolution du projet et l’atteinte des objectifs.
Cohérence :
l’intervention s’accorde-t-elle avec les autres interventions menées dans la province ? Dans quelle mesure, les actions entreprises sont–elles cohérentes et suffisantes pour répondre à l’objectif du projet ?orientation du programme de Coopération de la Suisse au Tchad ?
Efficacité :
- Dans quelle mesure les effets et les extrants planifiés de la phase I ont-ils été atteints ou sont-ils en train de l’être ? Quels sont les facteurs majeurs qui ont été à l’origine de l’atteinte des résultats ou de la réalisation ou non des effets attendus ?
- Les objectifs et les actions entreprises répondent-ils à la question d’amélioration de la gouvernance coordonnée faisant usage d’un mécanisme institutionnel participatif pour la prévention et la réponse à court et moyen termes au niveau de la province Batha ?
- Comment les bénéficiaires et les acteurs impliqués dans le projet ont-ils apprécié le mécanisme de coordination mis en place ?
- Les rôles et les responsabilités de différentes parties prenantes (partenaire de mise en œuvre et structures de l’Etat) sont-ils clairs et assumés pour un fonctionnement du mécanisme de coordination ?
- Les mesures d’aides d’urgence et de diversification des moyens de subsistance proposés aux ménages vulnérables et très vulnérables sont efficaces /appropriés pour renforcer leur résilience ?
- Quelles sont les insuffisances et les défaillances internes ou extérieures au projet qu’il faille corriger pour améliorer les résultats attendus ?
Efficience
- Quelle est la relation coût-bénéfice entre les ressources investies et les résultats atteints ? Quelles approches ou choix alternatifs pourraient donner des résultats similaires ou meilleurs, à moindre coût ?
- Quelle est la performance de la gestion du projet (management, gestion des partenariats et des ressources humaines, suivi financier y compris détection des problèmes et/ou irrégularités et mesures de correction) ? Le dispositif d’accompagnement mis en place est-il efficient, performant et adéquat ? Comment peut-il être adapté/amélioré pour être plus efficient et plus performant ? Et quelles adaptations ou considérations faut-il pour une prochaine phase ?
Impact et Durabilité :
Quels sont les premiers indices des effets à long terme du projet et comment une prochaine phase du projet doit être conçu pour que les activités aient un effet durable conformément aux besoins et que le projet puisse avoir un impact à plus grande échelle ?
- Quelles indications montrent que les effets produits continueront ou pourront continuer avec certaines conditions, après la fin du projet ? Quels facteurs majeurs peuvent améliorer ou entraver la persistance des effets ?
- Les effets produits peuvent -ils rendre autonome et opérationnel le mécanisme de coordination ? Dans quelle mesure le CPA et autres structures de l’Etat soutenues peuvent-ils porter et asseoir une coordination efficace viable ? Que faire pour que les différentes parties prenantes puissent porter le mécanisme de coordination en place ?
- Dans quelle mesure l’approche appliquée (Nexus et renforcement du CPA en tant que facilitateur) a-t-elle permis/permettra-t-elle d’avoir un impact positif au-delà de la durée de vie du projet ?
- Quel changement l’intervention a apportée dans la vie des ménages vulnérables et très vulnérables ?
- Quel est l’impact des activités de développement, le cas échéant ? Est-ce que le projet est sur la bonne voie pour créer des moyens de subsistance durables à la fin du projet ? Les objectifs relatifs à l’amélioration de la protection et de la gestion des ressources naturelles peuvent-ils être atteints ?
- Quel est l’impact des activités humanitaires, le cas échéant ? Quelles vont être les perspectives des bénéficiaires à la fin du projet ?
- Comment le principe » do no harm » a-t-il été appliqué pendant la mise en œuvre du projet ? Notre présence/action a-t-elle eu un impact négatif imprévu sur les bénéficiaires du projet/la population ?
- Quels sont les principaux enseignements qui ont été tirés ?
- Quelles sont les recommandations concrètes pour la programmation d’une prochaine phase du projet ?
- Si pertinence confirmée : Comment l’approche Nexus peut-elle être renforcée dans une prochaine phase ? Dans quelle mesure l’intégration de la composante de paix (Triple Nexus) est-elle pertinente ? Quels sont les aspects concrets dans ce domaine qui devraient être intégrés dans la programmation ?
- Genre : Les objectifs et les résultats répondent-ils aux besoins des femmes et des couches vulnérables ? à l’amélioration de leurs revenus ? La structure d’exécution du projet est-elle adéquate pour bénéficier les femmes et les jeunes ?
L’analyse de l’impact s’intéressera aussi à déterminer dans quelle mesure l’objectif global du projet tend à être atteint c’est-à-dire :
- Quels effets positifs/négatifs du projet sur le secteur, la région, les communautés, les ménages ?
- Quelles sont les possibilité/opportunité d’étendre à d’autres zones ou d’autres activités ?
- Quelles est le niveau d’implication des institutions et possibilité d’amélioration ou de renforcement ?
- Dans quelle mesures la réplicabilité des actions du projet sera possible ?
5. Analyse et évaluation
L’évaluateur sera amené à analyser les dimensions organisationnelle, technique, économique, sociale et environnementale de toutes les actions du projet. Il évaluera de quelle façon les actions du projet sont mises en œuvre pour valoriser ou non l’existant et soutenir ou non les économies des ménages vulnérables. L’évaluateur analysera également la participation des partenaires techniques de l’Etat notamment le service agricole de l’ANADER, les services de l’élevage, de l’environnement dans le renforcement des capacités des ménages ruraux et la durabilité des actions du projet.
6. Processus et produits attendues
Démarche méthodologie
Il est proposé, à titre indicatif, à l’équipe d’évaluateurs, une méthodologie de type croisée (analyse de documents et entretiens sur le terrain) avec une forte dimension participative, permettant une appropriation des résultats par les différents partenaires du programme :
- La recherche documentaire, la connaissance du programme à travers ses activités et toute sa documentation :
- Stratégie de la Coopération suisse au Tchad 2018 – 2021 ;
- Documents de base du programme : document de projet, rapports d’avancement périodiques et du bilan de fin de la phase 1,
- Documents stratégiques du gouvernement du Tchad ;
- Autres documents comme le cadre harmonisé et les rapports de Système d’alerte précoce,
- Entretiens avec des parties prenantes de ce projet (Coopération suisse, Caritas Suisse, les ONG partenaires de mise en œuvre, CPA et ses structures en niveau départemental et préfectoral, SISAPP, ANADER, etc.)
- Les visites de terrain, s’entretenir avec des bénéficiaires et des autorités et services décentralisés
Un échantillon représentatif des villages bénéficiaires, devra également être défini. L’évaluateur ou les évaluateurs devra/devront à minima visiter et s’entretenir avec :
- Le Comité Technique du CPA par rapport au mécanisme de coordination locale
- Les partenaires techniques du projet : Délégation l’élevage, Délégation de l’environnement et Secteur ANADER Batha Ouest/Fitri
- Les banques d’intrants et leur comité de gestion (focus group)
- Les groupements bénéficiaires de boutiques d’intrants
- Les Communautés bénéficiant de réalisation RNA (focus group)
- Les clubs des mères/AVEC
- Les bénéficiaires cash inconditionnel soudure /réponse inondations
- Les bénéficiaires caprins
- Les bénéficiaires cash for work
- Les ONGs œuvrant dans la province
- D’autres projets en lien avec la sécurité alimentaire intervenant dans la province comme le PAM, CRT/CRF, et les projets de la DDC, les structures de l’Etat pertinents au niveau central
- Autres ?
- Le briefing avec Caritas Suisse, la DDC et les partenaires centraux et du terrain en début et fin de mission ;
- Une restitution (Debriefing) à la fin des visites de terrain qui permettra la présentation, l’amendement, la validation et l’adoption des résultats de l’évaluation par les principales parties prenantes du programme.
Produit attendu
Matrice de l’évaluation : cette matrice est à élaborer au début de l’évaluation et précise la démarche méthodologique pour répondre aux différentes questions de l’évaluation.
Un atelier de restitution sera organisé à la fin de la mission de terrain pour partager les conclusions principales et les recommandations. Les participants seront les membres de la DDC, de Caritas Suisse ainsi que des ONG partenaires.
Rapport final : Un rapport final de l’évaluation, de 20 pages maximum (sans les annexes) structuré comme suit :
Résumé
- Objectifs, méthodologie et processus d’évaluation
- Le projet
- Contexte du projet
- Mise en œuvre du projet
- Principaux constats de l’évaluation
- Pertinence
- Cohérence
- Efficacité
- Efficience
- Impact / durabilité
- Conclusions et recommandations
- Conclusions
- Recommandations
Annexes
Le rapport final doit contenir des références claires aux informations / données importantes disponibles dans les annexes.
De façon pratique, le rapport provisoire sur lequel les observations sont faites est d’abord envoyé en version électronique. Les observations seront communiquées aux évaluateurs par Caritas Suisse. Les évaluateurs intégreront les observations et soumettront le rapport définitif en version électronique une semaine après réception des observations.
7. Normes de qualité et d’éthique
L’évaluation est réalisée conformément aux normes de qualité du CAD de l’OCDE[1] ainsi qu’aux normes de la SEVAL[2].
CACH veillera à ce que l’évaluation soit conçue et réalisée de manière à respecter et à protéger les droits et le bien-être des personnes et des communautés dont elles font partie, et à ce que l’évaluation soit techniquement précise, fiable et légitime, utile et réalisée de manière transparente et impartiale, et qu’elle contribue à l’apprentissage et à la responsabilisation de l’organisation.
Tous les documents et données recueillis lors des entretiens seront traités de manière confidentielle et utilisés uniquement pour faciliter l’analyse. Les personnes interrogées ne seront pas citées dans les rapports sans leur autorisation explicite.
[2] https://www.seval.ch/app/uploads/2020/12/Standards-SEVAL-2016_f.pdf
8. Calendrier indicatif de la mission
La durée de la mission d’évaluation est estimée à 31 jours pour le/les consultants. Le plan de travail est réparti comme suit, à titre indicatif, avec un chronogramme qui sera retenu sur la base de la méthodologie et du plan de travail proposés par les évaluateurs.
Activités | Consultants |
Préparation de la mission
Analyses documentaires Élaboration de la matrice de l’évaluation |
1 jour
3 jours 2 jours |
Entretien à N’Djaména
Mission de terrain |
1 jour
13 jours |
Organisation d’un atelier de restitution | 1 jour |
Rédaction du rapport | 8 jours |
Finalisation du rapport | 2 jours |
Totaux | 31 jours |
Echéancier
Dates | Activités |
13.10.2023 | Publication des termes de référence et des documents complémentaires |
24.10.2023 | Soumission des offres techniques et financiers |
28.10.2023 | Conclusion du contrat |
29.10.2023 | Début de la mission au Tchad |
26.11.2023 | Soumission du rapport provisoire d’évaluation |
05.12.2023 | Feedback du client sur le rapport |
10.12.2023 | Soumission du rapport final |
Profil du mandataire – Expertises recherchées
Compte tenu de la diversité des champs d’intervention couverts par le programme, il est fait appel à une équipe des experts/un.e expert.e en évaluation de projets/programmes avec :
- Une expérience et des compétences méthodologiques éprouvées en évaluation des projets/programmes de développement ;
- Des références pertinentes dans l’évaluation des programmes Nexus, de l’agriculture en milieu rural et de gouvernance ;
- Une expérience confirmée dans le domaine de l’analyse institutionnelle et de mesures d’impacts ;
- Une connaissance confirmée de gestion axée sur les résultats ;
- Une connaissance soutenue du système agricole et les expériences confirmées de la prise en charge de l’insécurité alimentaire ou de la vulnérabilité alimentaire
- Une connaissance approfondie de la prise en compte du genre dans les projets/programmes
- Une connaissance approfondie de la prise en compte et de l’application/respect des exigences de la bonne gouvernance de projets/programmes
- Une connaissance du contexte du Batha et des défis auxquels sont confrontées les communautés vulnérables.
- Une connaissance soutenue du thème et programmation ‘changement climatique’ ;
La langue de travail est le français. Toutefois, il est exigé de la part de l’expert national de pouvoir communiquer avec les bénéficiaires en langue (arabe tchadien). Une équipe de deux d’experts nationaux au minimum est encouragé.
Soumissions d’offres
Les personnes ou équipes d’évaluation intéressées sont invitées à soumettre leurs propositions d’ici le 24.10.2023. Les propositions devraient inclure une proposition technique avec l’approche détaillée, une expérience pertinente, un calendrier proposé, et une proposition financière. Les critères d’évaluation des offres reçues sont les suivants :
Critère | Pondération (en %) | Description |
Expérience du/des consultant/s | 20% | L’expérience du/des consultants dans des projets d’évaluation similaires |
Compréhension du mandat | 15% | La compréhension des objectifs et de l’importance de cette évaluation |
Méthodologie d’évaluation | 20% | La méthodologie prévue pour la réalisation de l’évaluation et sa pertinence. |
Calendrier et planification | 5% | La période proposée pour l’évaluation |
Budget et structure des coûts | 30% | Le budget proposé pour l’évaluation et une répartition claire des coûts. |
Références pertinentes | 10% | Références et retours d’expérience provenant de projets d’évaluation antérieurs. |
Les offres doivent être envoyées en français à Caritas Suisse par courriel électronique, simultanément, aux adresses suivantes : kkhastalani@caritas.ch et ipaganoni@caritas.ch et tchadrecrutement@caritas.ch
Le Directeur pays de Caritas Suisse-Tchad
MAMABOLEO Mishiki Mike